Madrid, 16 sep (EFE).-le tiers de la population mondiale, plus de 2 000 millions de personnes, n’a pas accès aux médicaments essentiels abordables pour eux et avec la qualité garanti.

Tout cela malgré le fait que, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 325 médicaments essentiels peuvent traiter quatre-vingt-dix pour cent de la maladie.

En outre, la plupart de ces médicaments (près de 95 %) n’est pas protégée par des brevets, et ils peuvent être fabriqués comme générique, quel coût considérablement moins cher.

Donc reflétée dans le rapport “connaissances, positionnement et participation sur l’accès aux médicaments au niveau international”, réalisée par l’ONG Farmamundi et présenté aujourd’hui par le président de l’organisation, José Luis Daroqui.

L’objectif du rapport, a-t-il expliqué, est la sensibilisation de tous les secteurs et la société sur la violation du droit universel à la santé et de faire des propositions d’actions stratégiques améliorer l’accès des pauvres aux médicaments essentiels.

Selon ce rapport, de plus de 50 pour cent des médicaments dans le monde entier sont prescrits, distribuer et irrégulièrement vendus et plus de la moitié des patients ne consomme pas leur correctement.

Le rapport révèle aussi que seulement dix pour cent des mondiaux de la r d investissement est réalisé pour guérir des « maladies oubliées », qui affectent les 90 pour cent de la population mondiale (maladie de Chagas, maladie du sommeil, le paludisme ou la tuberculose, entre autres).

En ce qui concerne la qualité des médicaments, Farmamundi plainte, conformément à l’OMS, tandis que les pays tels que le pourcentage de médicaments contrefaits seulement Espagne représentant un pour cent, l’absence de mécanismes de contrôle est que dans les pays pauvres cette ronde de proportion les 50 par siècle

En outre, conformément à cette organisation non gouvernementale, seulement un meilleur accès aux médicaments dans les zones (surtout rural) de la couverture pires, plus de 10 millions de décès annuelles pourraient être évitées jusqu’en 2015.

Parmi les conclusions de l’étude de Farmamundi, insiste sur la nécessité de tenir compte de l’accès aux médicaments essentiels comme le droit à tout le monde.

En outre, l’ONG recommande d’augmenter la participation et la coordination entre tous les intervenants des gouvernements, l’ONG, les pharmaciens et la société propre.

Image de José Luis Daroqui, président de Farmamundi fichier. EFE/fichier