Paris, 13 fév ( EFE).-une équipe de scientifiques internationaux a découvert dans la via la voie lactée, grâce au télescope spatial Planck de l’ Agence spatiale européenne (ESA), « îlots » de gaz froid dont l’ existence jusqu’à maintenant était inconnue, dit aujourd’hui le français pour la recherche scientifique (CNRS) Centre National de.

Ce groupe d’experts des centres comme l’Institut de recherche en planétologie et d’astrophysique de Grenoble et du CNRS, avait été l’instrument de haute fréquence (NHR) de la Planck pour la première carte complète de la distribution de monoxyde de carbone dans notre galaxie.

Dada la puissance de cet instrument, dit le chercheur Jonathan Aumont dans le communiqué du CNRS, des molécules d’hydrogène inattendu, on a aussi trouvé étant donné que « La Planck systématiquement balayé le ciel, » qui a permis de détecter les concentrations de gaz moléculaire où qu’on attendait pas.

El CNRS a expliqué que les nuages froids présents dans les galaxies et plus précisément dans la voie lactée, constituent des « réserves » qui étoiles sont forment et sont principalement composées de molécules d’hydrogène et, dans une moindre mesure, le monoxyde de carbone.

Bien que ce dernier élément est moins abondant, est plus facile à trouver, car il émet plus de lumière que les molécules d’hydrogène, et c’est pourquoi les scientifiques l’utilisent comme point de départ pour suivre la Charte géographique des nuages dits de l’hydrogène.

Cette découverte, selon le CNRS, devient plus importante pour la communauté scientifique sur le fait que les radiotélescopes requièrent plus de temps et se concentrent souvent « dans les secteurs du ciel qui est déjà soupçonné l’existence de ces nuages moléculaires ».

La conclusion sera détaillé demain dans la ville italienne de Bologne, dans une conférence internationale sur les résultats obtenus jusqu’à présent par la Planck au CNRS aujourd’hui dit que jusqu’à présent ont fourni « un point de vue inédit sur certains processus physiques » qui se produisent dans notre galaxie. EFE