Beijing, 23 (EFE).-Chine aboliront dans un délai de trois à cinq ans la pratique de la transplantation d’organes humains de prisonniers exécutés par la mise au point un système national de don pour réduire la dépendance actuelle des condamnés à mort et d’encourager le don d’organes, l’agence Xinhua rapporte aujourd’hui.

La source citée Huang Jiefu, vice-ministre chinois de la santé publique, qui a expliqué hier lors d’une conférence dans la ville de Hangzhou (est) pour atteindre l’objectif de l’abolition des projets pilotes déjà réalisées dans 16 provinces.

« l’engagement d’abolir les dons d’organes de prisonniers condamnés est une décision du gouvernement, » a déclaré Huang.

Selon les responsables de la santé, en raison de l’insuffisance dons d’organes, de la plupart des transplantés en Chine proviennent de prisonniers, bien qu’ils ont dit, qu’avec votre consentement.

Le ministère de la santé les chiffres montrent que près de 1,5 million de personnes en Chine ont besoin de greffes d’organes, mais seulement effectué 10 000 par an.

Selon Xinhua, ces dernières années dans la mise en œuvre de la peine de mort a entraîné le déclin des transplantations d’organes de mise en garde exécuté.

Au sous-ministre, « ces changements représentent défis à la façon traditionnelle que la Chine résolu la nécessité pour les transplantations d’organe ».

Huang a fait remarquer que les taux d’infection par des champignons et des bactéries par les organes des condamnés sont très élevés, ce qui réduit la survie de la greffe en Chine par rapport à d’autres pays.

Afin d’améliorer les règles relatives aux transplantations d’organes, en 2007, le Conseil d’État (exécutif) a publié les premières dispositions interdisant les organisations et les individus trading en aucune façon avec les organes humains.

Un amendement à la loi pénale de la Chine, adopté par l’Assemblée nationale populaire (ANP) en 2011, d’abord établi le crime des transactions commerciales des organismes.

Avec le nouveau règlement, les criminels condamnés pour « extraction ou le don d’organes forcée » peut face à des accusations d’homicide et pour organiser la vente illégale d’être emprisonné pour 5 ans et une amende, mais dans la plus grave des cas les peines seront plus élevés. EFE