Harare, 8 sep (EFE).-jusqu’à 7 000 enfants meurent chaque année au Zimbabwe parce qu’ils n’ont pas accès aux ARV, dit aujourd’hui le journal de l’État le Herald.

“Entre 6 000 et 7 000 enfants meurent chaque année à la suite du virus de l’immunodéficience humaine (VIH, SIDA cause) et, dans la plupart des cas, car sans accès à la pédiatrie antirretroviales », a déclaré Peter Salama, représentant au Zimbabwe, du Fonds des Nations Unies pour les enfants (UNICEF).

Dans les déclarations obtenues par le journal, Salama, a déclaré, lors d’une conférence nationale sur le sida tenue le mercredi, le problème est qu’il n’est pas pratiqué le test VIH aux enfants lorsqu’ils sont nés.

« Il est important d’avoir un diagnostic précoce, puisque la moitié des enfants non analysées n’arrivera pas au cours des deux années, » a déclaré le chef de l’UNICEF au Zimbabwe.

Salama, a déclaré que l’absence de la technologie, en particulier de celle utilisée pour l’analyse du VIH, également influencé ce taux élevé d’enfants morts.

Seulement 30 % des enfants séropositifs ont accès aux antirétroviraux, inférieur à la moyenne pour la région.

Zimbabwe est l’un des pays ayant le plus haut taux de HIV-infected, avec 14,3 % de la population âgée de 15 à 49, selon les récentes données de l’Office des Nations Unies sur le sida (ONUSIDA), 2009.

a girl de 5 mois est soumis à un examen avant d’une lèvre leoprino à l’hôpital pour enfants à Harare (Zimbabwe) le 10 octobre 2010. EFE/fichier