Madrid, 13 mars (EFE).-La organisation Medical College (OMC) s’engage avec les ministres de la Justice et de la santé, Alberto Ruiz-Gallardón et Ana Mato, respectivement, que « aucune femme ne devrait être obligée d’avoir à abandonner l’impossibilité économique de garder votre enfant ».

Le président de l’OMC, Juan José Rodríguez Sendín, a été en faveur, lors d’une conférence de presse, qui a « cible assistance » pour les femmes qui n’ont pas de possibilités économiques afin de poursuivre sa grossesse. « Avec le temps, c’est compliqué, mais il est de notre devoir de demander pour elle, » a condamné.

Le médecin a répondu ainsi interrogé par la réforme de la Loi sur l’avortement que prépare le gouvernement, et après les critiques, il a reçu du ministre de la Justice, pour défendre le droit à des pressions sociales avant maternités auxquels font face les femmes en raison du simple fait être enceinte.

Également le ministre de la santé a opté pour la lutte pour les femmes qui souhaitent être mères » ne sera par les pressions économiques, sociales, du travail ou familiales ».

WTO accueille également qu’au moins un des parents ou tuteurs des enfants qui décident d’interrompre leur grossesse ont connaissance de ce fait, comme il a annoncé le titulaire de la justice.

« Est beaucoup plus les dégâts empêche l’enfant, en supposant qu’un parent sait, » les conséquences qui peuvent causer des « a posteriori » « traumatismes si important, qui n’est pas comme prendre un bonbon », dit Rodriguez Sendín.

Les médecins sont également accueillis qui vont « prendre le plus grand corps » le respect de l’objection de conscience, après les déclarations qui donnent les médecins en raison de soins primaires se félicite lui en ne donnent pas les femmes enceintes les fiches d’information sur leur droit à l’avortement.

« Cela confirme que nous devons réglementer la façon de faire objection de conscience efficace parce qu’il n’y a droit de s’opposer, mais cela devient alors un acte héroïque, » a dit le médecin, qui a déclaré qu’ils ne peuvent pas être soumis à « l’interprétation morale qu’un juge «.

, Le représentant de l’OMC est néanmoins d’accord avec retour aux hypothèses de la Loi de 1985, parce qu’avec ses 94 % des avortements sont pratiqués sous les risques pour la santé psychologique de la mère.

« Nous comprenons que ce n’est pas la meilleure façon de résoudre ce problème, » a affirmé, à insister sur le fait que la preuve en est que la grande majorité des femmes d’hébergement de ce cours.

Médecins préconisent que le consentement de l’avortement a « validité et qualité », c’est-à-dire, qu’il y a une période de réflexion et information assurance pour les femmes, éviter les « contraintes » qu’ils peuvent subir.

Rodríguez Sendín a rappelé que sur la réforme législative annoncée par le gouvernement, il y a eu beaucoup de déclarations mais « rien dans l’écriture », par ce que vous préférez, exprimer une opinion définitive jusqu’à ce que les changements est officiellement connu.

Bien que “devrait être au Parlement de décider comment arrêter l’avortement Loi », a souligné que les médecins veulent rendre clairement que « ils sont nécessairement en faveur du vie de respect dès le début à la fin ».