Tripoli ( Liban), 16 mars ( EFE).-avant la situation humanitaire critique touchant la Syrie, certaines organisations islamiques s’installe en voisin Liban servent un nombre croissant de syrienne blessé arrivant de ses hôpitaux et cliniques, fuyant la répression.

Est le cas de l’association médicale islamique, qui est la maison à une partie de la malade et blessé lors des bombardements dans un hôpital modern de la ville libanaise de Tripoli, dans le Nord du pays.

Depuis le début de la révolte en Syrie en mars de l’année dernière, le Centre donnant le Chifae a donné des soins à 450 syriens, a dit à la tête du complexe Mir ajouter Efe.

Dans des chambres individuelles, les patients se remettre de blessures après avoir exclu les hôpitaux gouvernementaux au Liban par peur d’être découvert et a poursuivi.

« Ont reçu les femmes, les enfants et les malades, beaucoup d’entre eux blessés dans les jambes et les bras. » « Nous aider tout le monde », dit Mir, qui a dit que l’arrivée des Syriens dépend de la situation dans son pays, donc il y a les jours qui sont jusqu’à 25 personnes à la fois.

Parmi les cas plus graves, il a rappelé, est un jeune homme qui a passé cinq jours caché entre les eaux stagnantes pour être en mesure de franchir la frontière.

« Came avec nombreuses infections. » « Croire qu’il n’a pu être sauvé, était nécessaire pour rendre la dialyse et revenue maintenant à prendre la parole », a déclaré Mir.

Est un autre de la blessée Ahmad Barri Hamud, membre de l’armée libre SIRIUS (ELS) de 29 ans a été opéré dans un hôpital clandestin, dans la province de Homs, puni, dans le Centre de la Syrie.

y vous étiez une jambe de fer, mais il a été infecté et a encore à subir plusieurs opérations.

« Je suis préoccupé par la situation dans mon pays, je sais qu’il y a des familles entières qui sont tués, » dit Efe Hamud.

Ce rebelle, anciennement gestion dans un hôpital, a fait remarquer qu’en Syrie » la situation humanitaire est tellement terrible que beaucoup de gens malades meurent et ne peut rien faire ».

Faire face au choix de laisser mourir les patients ou essayer de les sauver, Hamud a avoué que, malgré n’étant ne pas médecin, avait souvent faire de petites interventions chirurgicales qu’ils lui a enseigné quelques médecins.

La situation a débordé à tel point dans le pays voisin où hôpital libanais donnent à la Chifae est a réactivé la salle d’urgence, comme c’est arrivé durant le conflit avec Israël en 2006 et qui a combattu l’armée libanaise et le groupe extrémiste Fatah al-Islam sunnite en 2007.

L’association médicale islamique a plusieurs cliniques, y compris celui de la ville de Arsal, dans l’est du Liban et Wadi Khaled, dans le Nord, où un grand nombre de réfugiés syriens pass.

L’organisation a également ambulance transféré les blessés de Arsal dans d’autres régions plus sûres, craignant les réfugiés restent dans les villages à majorité chiite, concernant le régime du président syrien Bashar Al-Assad.

Pour l’instant, cette Association islamique a payé 300 000 $ pour des traitements exonérés, qui a récupéré seulement la moitié, grâce à d’autres organisations humanitaires, selon le directeur du Centre.

D’autre part sont les blessés sont apportées dans le gouvernement, des hôpitaux, dont le transfert est responsable de la Croix Rouge, tandis que son traitement médical dépend du Comité d’aide supérieure, présidé par le premier ministre libanais Mikati Nayib.

Selon les données les plus récentes de la Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), environ 30 000 syriens ont cherché refuge dans les pays voisins, dont il reste plus de 10 000 au Liban.

Un an après le déclenchement de la rébellion en Syrie, l’ONU estime que plus de 8 000 personnes ont été tuées par la répression du régime, accusé d’avoir commis des crimes contre l’humanité.

Kathy Seleme

Réfugiés syriens crier des slogans lors d’une manifestation contre le Président Bachar Al-Assad. EFE